Pourquoi les machines ne peuvent pas (encore) nous remplacer

Sarah Dégallier Rochat montre que l'homme et la machine se distinguent catégoriquement. Là où les machines brillent dans la reconnaissance des formes, les prédictions et le traitement de grands ensembles de données, les humains convainquent par leur compréhension du contexte, leur flexibilité et leur jugement éthique.

L'apocalypse de l'IA évoquée par les médias est donc irréaliste : de nombreuses tâches ne sont actuellement pas encore automatisables et restent donc (pour l'instant) réservées à l'homme.

Nous discuterons lors du « DigitalXchange : pourquoi les machines ne peuvent pas (encore) remplacer l'homme » de l'impact de l'IA sur le marché du travail, des raisons pour lesquelles les scénarios d'horreur diffusés par les médias ont la vie dure et pourquoi l'avenir prévisible - d'un point de vue scientifique - réside dans une collaboration entre l'homme et la machine.

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15.11.2023 - 18:30 – 20:00
Ville de Bienne
Allemand, Français
Digital Xchange